- Membres
- Valérie Valero
Note de la cheffe décoratrice
C’est un projet très original, l’expérience propose de plonger les spectateurs dans l’univers de Terminator 2 de James Cameron au milieu d’une vingtaine de comédiens et cascadeurs rejouant en direct les grandes scènes du film.
C’est une des premières expériences de cinéma immersif en France. Les spectateurs passent d'un espace à l'autre et interagissent avec les personnages. Nous avons trouvé plein d’idées pour créer un décor éco-conçu avec un faible impact carbone en utilisant à 50% des matériaux récupérés ayant déjà eu une première vie avec la Ressourcerie du Cinéma et la Réserve des arts. Je suis arrivée sur le projet avec Adrien Souchet, premier assistant, début février, et nous avons livré les décors mi-juin. C’était très court ! Quand nous sommes arrivés rien n’était fait pour transformer plus de 800 mètres carrés de bureaux, (Les impôts) en 11 décors aussi variés qu’un bar américain, un coin de désert, un hôpital psychiatrique et les bureaux de Cyberdyne… Il a fallu imaginer, casser les murs, et reconstruire ! C’était un challenge pour tenir les délais et le budget, mais j'ai été entourée par une équipe talentueuse et motivée.
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- Production StudioCanal et Dream Factory
Équipe décor
- Premier·ère assistant·e déco Adrien Souchet
- Second·e assistant·e déco Eric Vassard
- Premier·ère assistant·e dessin Adrien Souchet
- Second·e assistant·e dessin Melusine Chosson
- Troisième assistant·e déco Juliette Ritter
- Régisseur·euse Cyril Mignot
- Rippeur·euse Yoan Thevenin
- Graphiste Melusine Chosson
- Accessoiriste meuble Thomas Stuck
- Chef·fe constructeur·ice Théo de Montalivet
- Chef·fe peintre Sabine Barthelemy
- Chef·fe staffeur·euse lili Beltramo
Note de la cheffe décoratrice
\"Vous Dansez ?\" par la Cie Les Alouettes Naïves - octobre 2014 Un projet, artistique original, avec deux danseurs, une vidéaste, une plasticienne scénographe, une créatrice de la lumière, un vidéaste une créatrice sonore et les habitant(e)s de Sevran et de la prison de Fleury. Un projet avant tout humain et magnifique. Les sectateurs traversent d’abords une exposition avec des vitrines qui réunissent les dessins de Valérie Valero et les vidéos de Christel Jubien qui a suivit Emmanuelle Rigaud à la rencontre des habitants de Sevran. La danse sensible d’Emmanuelle Rigaud vibre des mots qu'elle capte. La bande son est créée à partir de paroles récoltées auprès des habitants, et des musiques du monde. Le duo de danseur projette des habitants danseurs filmés chez eux sur la peau des spectateurs. Ils rejetent sur l’autre les désirs de danse et font percevoir quelque chose qui en réalité est commun à chacun de nous, un rapport fort à la musique, à la danse. L’espace, la lumière… Un espace en vis à vis où les spectateurs se font face, de chaque côté d ‘un tapis de danse blanc qui matérialise la scène. Des lampes chinoises, des ampoules éclairent délicatement l’espace. Des cercles en fils se transforment en écrans à traverser pour mieux raconter l’intimité … De l’autre côté, se trouve un long un écran doublé de plusieurs tulles. Les images en rétroprojections viennent souvent du petit caroussel posé sur une table, qui évolue et est animé par les danseurs…des silhouettes, des photos d’habitants collés sur du carton.
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- Production Alouettes Naives /Emanuelle Rigaud
- Chef·fe opérateur·ice Lumières: Flora Hecquet
- Ingénieur·e son Création Sonore: Aude Rabillon / Régie Vidéo: Boris Carré
Équipe décor
- Premier·ère assistant·e déco Images: Chrystel Jubien et Estelle Lacombe
Note de la cheffe décoratrice
Concert d’objets, hommage à Enio Moricone La collaboration avec Jean-François Hoël et tous les musiciens de Clap’s a été une expérience plaisante et créative… La scénographie évoque l'univers du western. Conçue en grande partie à partir d’objets de récupération, les éléments du décor sont au cours du spectacle métamorphosés par les musiciens et le bruiteur. Ils permettent de nouvelles inventions sonores. A partir du {bar-xylophone,} du clavier-fer-à-cheval, de la guitare boite-de-film 35mn, de la batterie tonneaux du cordophone-lampe, jaillissent des images poétiques et des sons étonnants. Les musiciens réinterprètent sur scène les morceaux les plus célèbres de {Il était une fois dans l’ouest}, {le Bon, la Brute et le Truand}, ou des films noirs comme {Le clan des siciliens ou Peur sur la ville}… {Télérama TTT Françoise Sabatier-Morel - 5 février 2014} « Toute une lutherie étonnante qui séduit autant l’œil que l’oreille (tous les instruments ou objets sonores sont faits avec des matériaux de récupération) et compose le décor sonore avec lequel jouent les interprètes, et un dispositif vidéo. » Direction artistique, mise en scène : Jean-François Hoël / Musiques : Ennio Morricone Adaptations et compositions originales : Jean-François Hoël, Jean Louis Mechali, Frédéric Obry Scénographie : Valérie Valéro, Création d’instruments : Benoît Poulain, Alain Grazzelli Lumière : Gilles Robert / Son : Laurent Le Gall / Films : Christine François Avec Jean-François Hoël (clarinette en pvc, gants siffleurs, thérémin), Alain Guazzelli (idiophones, baril’drums, tubular-bar), Frédéric Obry (cordophones, scie musicale), Aurélie Pichon (aérophones, gueularde, clavier fer à cheval), Aurélien Bianco (bruitages, basse, senza basse) Partenaires_Coproduction Zic Zazou Lutherie Urbaine._Avec les soutiens du CNV (résidence au LULL), de la DRAC Picardie, de la Ville d'Aubervilliers, de l'ADAMI et la SPEDIDA Liens : http://www.ziczazou.com http://www.lutherieurbaine.com
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CULTURE - le 21 Octobre 2013 La chronique théâtrale de Jean-Pierre Léonardini Gisements de sensibilité \"Avec pour tout mobilier, des cartons habilement manipulés, pour camper l’atelier infernal ou la chambre d’hôtel, Eva Castro habite admirablement, à la première personne du singulier, cette histoire...\" Toute mince et droite dans sa petite robe à carreaux discrets, les yeux dans nos yeux, elle peut mimer les gestes du travail à la chaîne et distiller, l’instant d’après, le monologue intérieur d’une femme en amour sous surveillance policière. La langue rase de Claire Etcherelli, consciemment assumée, résonne avec le plus juste timbre et parle à nouveau très fort, sur le mode de l’intime orchestré avec grâce, tout en affects tendus, sans un pouce de graisse pathétique.\" L'histoire: Elise se souvient. France, 1957-58, en pleine guerre d’Algérie. Embauchée dans une usine de construction d’automobiles, elle va vivre l’aliénation du travail à la chaîne et la condition des femmes prolétaires, être confrontée au racisme, sensibilisée à l’engagement politique et découvrir l’amour. Découverte de la vie parisienne au travers du regard d'Elise, nous passons de l’usine, aux cafés parisiens, aux chambres d’hôtels, aux déambulations dans les rues de Paris… Pourquoi son histoire nous touche-t-elle encore aujourd’hui ? Où en sommes-nous de la vraie vie ? http://www.humanite.fr/culture/gisements-de-sensibilite-551524
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- Production Ginkgo Biloba Théâtre Soutien : Cie Sysiphe Heureux, le Centre Culturel Algérien de Paris.
- Chef·fe opérateur·ice Créateur Lumière : Jean Marc Oberti
- Chef·fe costumier·ère Valérie Valéro
- Ingénieur·e son Musique : Fanny Rome, et fragments de chansons de Fadila Dziria
- Scénariste D'après le Roman de Claire Echerelli, Adaptation d'Eva Castro
Équipe décor
- Premier·ère assistant·e déco Merci à l'Atelier Un point Trois, Jean Marc Oberti et le TGP et le Théâtre de la Girandole