La ville de Paris et ses alentours accueillent pendant près d’un mois le tournage d’un film intitulé Pour toi, j’ai tué, cette fiction inspirée de faits réels et réalisée par Laurent Heynemann mettra en scène Natacha Régnier et Jean-Pierre Lori. Christian Tellier (Jean-Pierre Lori), médecin dans une ville de province est touché par le sort d’une de ses patientes, Isabelle Fayet (Natcha Régnier). Cette dernière est en effet battue par son mari. Mais la relation entre les deux va évoluer au fil de leurs rencontres. De médecin, Christian deviendra peu à peu le confident puis l’amant de la jeune femme. La relation cachée du couple illégitime se poursuit pendant des mois jusqu’au jour où il ne supporte plus les brutalités subies par Isabelle. Montré du doigt, le mari pourrait cependant ne pas être le monstre décrit par sa femme. Le rôle du mari d’Isabelle Fayet est interprété par Christophe Dominici. L’ex-international de rugby ses premiers pas de comédien devant la caméra.

Ce film narre d'après l' autobiographie de Pierre Mendès France un période mal connue de sa vie. Pierre Mendès-France en 1940, au moment de la déroute qui obligea le gouvernement à se réfugier à Bordeaux, alors député décida de quitter la France à bord du Massilia. Il fut arrêté le 31 août 1940 au Maroc, accusé, avec trois autres officiers, de désertion. Jugé le 9 mai 1941 par le tribunal militaire de Clermont-Ferrand, il fut condamné à six ans de prison d’où il s’échappa le 21 juin 1941 pour rejoindre \"les Forces françaises libres\" à Londres. Jean Zay compagnon d'arrestation, lui ne survivra pas. Le film a été tourné à Clermont Ferrand dans la prison désormais désaffectée au fond d'une caserne militaire, à Riom dans la salle de Tribunal où De Gaulle fut condamné à mort. Et à Vichy.

Nord Niger. Deux scientifiques français appartenant à une ONG environnementale, le CIR, disparaissent alors qu’ils sont en mission dans la région d’Arlit. Deux jours plus tard, leur 4x4 est retrouvé en plein désert, ainsi que leur chauffeur touareg… tué par balles. Prise d’otage sanglante. Les ravisseurs, une bande armée redoutée, annoncent très vite la couleur : ils exigent 3 millions de dollars. Hors de question. Hugo Geoffroy, n°2 de la cellule d’urgence du Quai d’Orsay, et son patron Thomas Villiers, habitués à gérer ce genre de situation, mettent immédiatement en place une collaboration avec Aboubacar, le patron de la sécurité nationale nigérienne, pour négocier une libération des otages, sans condition.