quelle aventure,refaire en studio un appartement de la légendaire cité Picasso,construite par Aillaud,avec ces façades en mosaïque de pâte de verre,et ses fenêtres qui vous font de l'oeil. Aprés cela,de beaux lieu aménagés en décors naturels.

c'est l'histoire d'un jeune medecin congolais qui cherche a s'installer dans un bourg de picardie au mitan des années septante,avec sa petite famille,et qui va rencontrer l'autochtone et ses appréhensions. c'est riche d'émotions,méme un peu d'actualité aussi. tourné avec de petits moyens,mais pleins d'envie,ce fut l'occasion de faire des rencontres avec des personnages qui ne sont pas de fiction,mais bien dans la réalité,les à cotés plaisant de ce métier . un village qui s'appelle Steenkerque,très picard,très Belge,et il faisait beau,très beau

on doit reconnaitre qu'ils ont du chien,les deux débutants,Arthur Benzaquen a la réalisation,Daniel Tordjman a la production, pour un premier film qui ne ressemble pas a un premier film, muni d'un casting et d'un budget appréciable,le résultat est convaincant. un tournage énergique dans un Maroc aux températures éprouvantes,agrémenté d'une préparation Marakchi sous ramadan,des repérages nombreux entre Marrakech et Ouarzazate qui posséde un back lot,riche,très riche,ou l'international du cinéma tourne 12 mois par an,des équipes de construction et de peintures compétentes,méme si parfois l'organisation d'un tel challenge,laissait a désirer. et un grand merçi a Valerie Othnin Girard, premiére assistante réalisatrice,pour avoir réussi a gérer cette aventure !

troisième collaboration avec le ch'ti international,pour une super production,dans de super conditions,qu'il serait super de connaitre plus souvent. beaucoup de décors réalisés en studio,a Brussel, des repérages extérieurs de qualité,un décor portuaire inespéré, a Anvers,et un Tcherkistan (ne cherchez pas sur la carte) inventé dans la banlieue de Budapest. De nouveau dans le froid et sous la neige. superbement servi par le cadre de Rodolphe Lauga,et la lumière de Romain Winding. à noter qu'aucun membre de la décoration,n'est tombé malade au cours du tournage.

premiére réalisation de Christophe Turpin,scénariste de \"Jean Philippe\"et de \"JCVD\", tourné à Carnac et ses environs, au debut de l'été 2011, à la fois grave et léger,belle photo, petits décors, une équipe déco comme un swing gang, un restaurant à retenir \"la calypso\", un titre de film qui sent la comédie,alors que l'on tend plus vers le film d'auteur, j'aurais préféré qu'il s'appelle \"I can't get no!\",dans la bande son, les oreilles averties reconnaitrons \"the pale fountains\".bel été!

une belle aventure à la frontière franco belge sous des températures à faire geler les pinceaux,reconstitution d'un poste frontière de légende.l'action se passe en 1992,a l'aube de l'informatique et des téléphones portables,portée par une escouade de comédiens plus vrai que nature.un long tournage,une vraie préparation,un réalisateur attentif et exigeant,une bonne humeur,des moyens,vivement le suivant...

tourné à paris de novembre 2007 à janvier 2008,c'est l'histoire d'un mec qui se présente a l'election pestilencielle,pour rire,et qui ne vas pas aimer. Film \"d'époque\", beaucoup de décors, dont la maison de la rue gazan reconstruite en studio à Bry sur marne. Une\"excellente\" collaboration entre la déco et l'image; thomas Hardmeier et Berto,sous la direction de antonio \"dé caunes. \"

tournage du sud au nord de la france,dans des decors naturels,puis 3 semaines aux studios d'arpajon,interieur d'une poste,appartement de mr kad et mme zoé,avec cerise sur le gateau,l'interieur d'un carillon avec ses 30 cloches,tout ceci réalisé avec talent et bonne humeur par un homme de coeur,au sein d'une équipe de qualitée,un vrai bonheur,qui semble étre partagé par les spectateurs.........

rien a dire.....un bon travail ne vaut rien si les images ne suivent pas,

Une comedie pleine d'idées,semée de tempêtes et d'incendie,de rires et de galéres,méritant cette réplique,disparue à la sortie du film,et que je dédie au réalisateur;\"je n'ai pas d'ami,je n'ai qu'un Tsunami\",c'est un peu comme le H de Hawai,ça sert à rien,mais ça fait du bien.

Un premier film dont je suis fier, avec un décor de maison de campagne qui revisite le scénario. Remerciements à Philippe Starck pour son aide, à Guillaume dont les doutes ont disparus au montage, à une equipe déco trés engagée, quand le budget ne l'était pas.

Dimitri, 49 ans, est un homme très malade.Il rejoint \"La Maison\", un lieu où sont accueillies des personnes pour qui la médecine ne peut plus rien; Il fait la rencontre de Suzanne, une bénévole qui se consacre à l'accompagnement des gens en fin de vie. Un décor unique: \"La maison\", un établissement de soins palliatifs, dont l'intérieur et l'extérieur ont été reconstruits dans un bâtiment et un terrain abandonnés sur les hauteurs de Draguignan.