PRÉHISTOIRE,
UNE ÉNIGME MODERNE
Centre Pompidou, Paris 4ème
Jusqu’au 16 septembre
C’est LA grande exposition parisienne de l’été, nullement consacrée à la préhistoire mais à la façon dont les artistes modernes ont regardé l’émergence de la "notion" de préhistoire.
Celle-ci s’est imposée « au milieu du XIXe siècle, à peu près au moment où débute l’art moderne. Les origines de l’humanité et celles de l’art moderne ont émergé ensemble, et se sont construites de manière parallèle ». (Cécile Debray, une des commissaires de l’expo).
Partant de ce constat,
Préhistoire, une énigme moderne interroge la manière dont le choc esthétique et philosophique de la découverte de la préhistoire a pu influencer la représentation et l’art moderne.
« Propulseur au félin », Magdalénien (env 17 000 et 12 000 ans av. J.C)
Saint-Germain-en-Laye, Musée d’archéologie nationale
Fresque d’argile sur vitre de Miquel Barceló. Photo Philippe Migeat
En vignette, Louise Bourgeois, Cumul I, 1968