DORIAN GAUDIN, EMMANULLE LAINÉ, EMMANUEL SAULNIER…
Palais de Tokyo, Paris 16ème
Jusqu’au 8 mai 2017
En même temps que l’exposition collective «
Sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce », des artistes exposent en solo. Sélection.
DORIAN GAUDIN
Rites and Aftermath (Rites et après-coup).
« La notion de temps est présente dès qu’il y a un mouvement. J’imagine mes installations comme des instants. Je fais tout pour donner une psychologie à mes œuvres. Les objets y révélant leur tempérament, elles performent jusqu’à la transe. Elles nous font une danse, une danse qui leur serait tout à fait propre. » D. Gaudin
« S’appuyant sur la nature première de la machine – un instrument communiquant un mouvement – Dorian Gaudin révèle la capacité qu’ont les objets à faire récit. »
EMMANUELLE LAINÉ EMMANUEL SAULNIER En vignette :
Where the rubber of our selves meets the road of the wider world
On entre dans une installation en plans successifs, un gigantesque trompe-l’oeil sous la forme d’un arrêt sur image.
Black Dancing
Une œuvre et deux installations forment Black dancing.
« Des liens poétiques se créent entre les matériaux utilisés : la transparence du verre et le bois sculpté, le bitume noir craquelé au sol ou l’encre séchée, dont l’obscurité renvoie à la nuit de l’âme ».
L’installation Round Midnight d’Emmanuel Saulnier, un nouvel ensemble d’œuvres en hommage au standard de jazz éponyme signé Thelonious Monk.
« En référence au célèbre style d’improvisation du pianiste, la sculpture échappe à ses contraintes pour devenir un geste libre et spontané ; elle se mue en un dessin dans l’espace, à l’échelle du lieu ».