RÉTROSPECTIVE
CENTENAIRE DES STUDIOS DE LA VICTORINE
Cinémathèque française, Paris 12ème
Du 25 mars au 7 avril 2019
Les studios niçois ont 100 ans, la plus longue longévité si l’on excepte des plateaux de la région parisienne.
La Nuit américaine de François Truffaut (1972) ouvre la rétrospective de la Cinémathèque qui comprend une vingtaine de titres, de Lumière d’été à Un Balcon sur la mer, tous tournés à La Victorine.
La Victorine avec le décor parisien de La Folle de Chaillot (Bryan Forbes, 1969) réutilisé par la suite par Truffaut.
A partir du mois de mai, la ville de Nice elle aussi célèbrera la Victorine avec Nice 2019 : L’Odyssée du cinéma à 100 ans. A suivre… A lire, La Victorine, un siècle de cinéma par Joël Daire, directeur délégué du patrimoine de la Cinémathèque. En vignette, Lumière d’été de Jean Grémillon (1942), décors d’Alexandre Trauner
« Né de la migration progressive, à partir des années 1910, de l’industrie cinématographique d’est en ouest, Hollywood était devenu l’un des symboles de la puissance américaine. Quelques industriels français rêvent, au sortir de la Grande Guerre, de bâtir dans le sud un Hollywood national. De ce rêve en partie abouti sont nés, à Nice, il y a cent ans, les studios de la Victorine ».
La suite sur http://www.cinematheque.fr/cycle/centenaire-des-studios-de-la-victorine-506.html
Bonjour Tristesse d’Otto Preminger (1958)