DUST / HISTOIRES DE POUSSIERE D’APRÈS MAN RAY ET MARCEL DUCHAMP
Exposition au BAL 75018 Paris
& Edition d’un livre & Projections au Cinéma des Cinéastes
Jusqu’au 17 janvier 2016
Sans le chercher, une photo prise un peu par hasard est devenue « une clé pour découvrir à la fois un ordre caché de la photographie et la révolution qu’elle préfigure dans l’histoire de l’art ». (Diane Dufour, directrice du Bal)
En 1920,
Man Ray se trouve dans l’atelier de
Marcel Duchamp où il photographie une œuvre de ce dernier, recouverte de poussière. Le résultat est un paysage mystérieux et la photo sera publiée sous le nom Vue prise en aéroplane par Man Ray, puis Elevage de poussière.
A partir de ce cliché devenu mythique, l’exposition au
Bal explore le motif de la poussière.
« Ce sont des explosions, des paysages de sable, des souffles sur de vieux livres poussiéreux. Ce sont des photographies abîmées, des objets éclatés contre le sol, des pierres cassées. Ce sont autant de non-sujets absolus, anti-héros de l’opportunité photographique qui sont actuellement mis en valeur sur les murs du Bal. »
(Communiqué de presse)
Autour de l’expo, un livre : ...et un cycle de films : Une sélection de court-métrages proposéE par Light Cone à partir de films expérimentaux issus de sa collection et de films d’artistes. Minéralités, mardi 10 novembre 2015 à 20h15 En vignette : Tempête de sable dans le Kansas, 1935.
DUST - Histoires de poussière d’après Man Ray et Marcel Duchamp, coédité par Le Bal et Mack.
Cet essai inédit laisse autant de place aux images qu’aux textes de David Campany, écrivain, historien de la photographie et commissaire de l’exposition.
POUSSIÈRES D’IMAGES
au Cinéma des Cinéastes, à deux pas du Bal.
Trois séances, trois lectures possibles de l’oeuvre marquante de Duchamp et Man Ray.
Figures de l’informe, mardi 1er décembre 2015 à 20h15
Forces telluriques, mardi 12 janvier 2016 à 20h15
Tout le programme sur http://www.le-bal.fr/2015/10/poussieres-dimages
Robert Burley, Demolition of Buildings 64 and 69, Kodak Park, Rochester, New York, 2007. Courtesy de l’artiste et du Musée Nicéphore Niépce, France