JESUS RAFAEL SOTO Galerie Perrotin Jusqu’au 28 février On peut entrer et se perdre dans une des œuvres de Soto présentées chez Perrotin, d’innombrables fils souples de couleur, suspendus verticalement et régulièrement dans l’espace. Le moindre déplacement du visiteur génère visuellement un effet ondoyant et changeant (moiré). Cinétique, optique, abstraction perceptuelle... : il parait que Soto n’acceptait aucun de ces termes pour qualifier son travail. Jesus Rafael Soto Repères bio
"CHRONOCHROME"
Paris 75003
C’est un motif récurrent de l’œuvre de Soto, un système visuel qu’il met au point à la fin des années cinquante et déclinera par la suite. Comme le panneau couvert de fines rauyres blanches et noires, devant lequel il place – à quelques centimètres – des fils, des tiges de métal et des carrés colorés.
1923 Naissance au Vénézuéla
1950 S’installe à Paris
1956 Première exposition personnelle, présente Structures Cinétiques sur plexiglas à la galerie Denise René
1974 Rétrospective au Guggenheim Museum de New-York
2003 Rétrospective au Centre Georges Pompidou
2005 Meurt à Paris