JARDINS DU CINEMA
de Michel Berjon
Editions Petit Génie, 2016
« Les jardins sont moins présents au cinéma que dans le monde réel. Pourquoi ne voit-on pas plus de jardins sur les écrans, alors qu’ils font partie du quotidien ? » (Michel Berjon)
« Objet d’une contemplation paysagère, le jardin est aussi un lieu qui vit et meurt avec les personnages qui le fréquentent : un lieu d’art, un lieu d’amour, un lieu de quête de sens. Sans cesse réinventé, il déploie, au cinéma, toutes ses possibilités esthétiques et philosophiques. »
Blow Up, Michelangelo Antonioni, 1966
« Explorer le jardin au cinéma, c’est initier une passerelle entre deux arts et deux publics. S’adressant aux amateurs de jardins comme aux cinéphiles, Jardins du cinéma est une invitation, à travers 120 ans et 300 films, à comprendre ces lieux familiers que sont la cour, le jardin ou le parc – et à nourrir notre regard de celui de grands cinéastes, de Stanley Kubrick à Alain Resnais, Fritz Lang, Fellini, Antonioni, Woody Allen, Mike Leigh, Jacques Tati, Todd Haynes, Tim Burton… » En vignette
http://www.editions-petitgenie.fr/jardins-du-cinéma
Pleasantville, Gary Ross, 1998
Meurtre dans un jardin anglais/The Draughtsman’s Contract, Peter Greenaway, 1982