JARDINS D’ORIENT,
DE L’ALHAMBRA AU TAJ MAHAL
Exposition à l’Institut du Monde Arabe
Jusqu’au 25 septembre 2016
Sur le parvis de l’IMA, le paysagiste Michel Péna a installé un jardin éphémère, recouvert d’une immense anamorphose végétale de
François Abélanet (ADC).
C’est la conclusion - monumentale ! - de l’exposition consacrée aux jardins arabo-musulmans et leur évolution depuis la haute antiquité.
Sans chronologie, avec l’eau pour fil conducteur, le parcours aborde des thématiques comme la nature et la ville, le jardin miroir de la société, la grammaire originelle du jardin et ses déclinaisons…
Venant de l’ensemble du monde arabe, ils sont représentés sous toutes les formes : peintures, sculptures, textiles, photographies et des images de synthèses pour faire revivre (inévitablement) les jardins suspendus de Babylone.
Les œuvres proviennent de toutes les époques, avec une large place aux artistes contemporains, soucieux du rôle que peut jouer la nature dans la ville « durable ».
Jardin du peintre Jacques Majorelle (1886-1962), Marrakech
En vignette, fontaine d’Egypte ou de Syrie mamelouke, XIVème siècle